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PRI-005
Seigneur, fais entrer
en possession de la Joie
éternelle ceux qui ont
mis en Toi leur
espérance et leur foi.
en possession de la Joie
éternelle ceux qui ont
mis en Toi leur
espérance et leur foi.
PRI-010
C’est un don de Dieu
de mourir jeune
et sans tache.
La raison ne nous le dit pas,
mais la foi nous en persuade.
Il était le bonheur
de la maison et il
en restera l’Ange gardien.
Cher petit ange,
près de Dieu, prie
pour ceux que tu as
laissés sur la terre.
de mourir jeune
et sans tache.
La raison ne nous le dit pas,
mais la foi nous en persuade.
Il était le bonheur
de la maison et il
en restera l’Ange gardien.
Cher petit ange,
près de Dieu, prie
pour ceux que tu as
laissés sur la terre.
PRI-015
Comme la rose
à peine épanouie,
il n’a vécu qu’un jour!
Il n’a vécu que ce
que vit la rose.
Pour être à notre amour,
trop tôt ravi,
Dieu l’a cueilli/cueilli avant que
la terre ne l’ait flétri.
Suivons au séjour des
anges, notre petite colombe
douce et blanche.
Oui, consolez-vous,
nous nous reverrons un jour
au Ciel où je vous attends.
à peine épanouie,
il n’a vécu qu’un jour!
Il n’a vécu que ce
que vit la rose.
Pour être à notre amour,
trop tôt ravi,
Dieu l’a cueilli/cueilli avant que
la terre ne l’ait flétri.
Suivons au séjour des
anges, notre petite colombe
douce et blanche.
Oui, consolez-vous,
nous nous reverrons un jour
au Ciel où je vous attends.
PRI-020
Il était simple, droit, bon,
aimable envers tous,
d’un dévouement sans borne
et d’une piété exemplaire.
Ses bonnes œuvres
lui rendent témoignage,
il a consolé ceux qui souffraient,
il n’a pas mangé
le pain de l’oisiveté.
Parents et amis,
ne m’oubliez pas dans
vos prières; communiez souvent
pour moi.
Pourquoi pleurer mon départ,
puisque la mort est la fin
de mes souffrances.
J’ai rejoint ceux que j’aimais
et j’attends ceux que j’aime,
au Ciel, là où la famille
se reformera.
aimable envers tous,
d’un dévouement sans borne
et d’une piété exemplaire.
Ses bonnes œuvres
lui rendent témoignage,
il a consolé ceux qui souffraient,
il n’a pas mangé
le pain de l’oisiveté.
Parents et amis,
ne m’oubliez pas dans
vos prières; communiez souvent
pour moi.
Pourquoi pleurer mon départ,
puisque la mort est la fin
de mes souffrances.
J’ai rejoint ceux que j’aimais
et j’attends ceux que j’aime,
au Ciel, là où la famille
se reformera.
PRI-025
J’ai terminé mon voyage...
La séparation fut pénible
et je connais votre peine
mais il faut retrouver la paix.
Rendons plutôt grâce
pour ces merveilleuses années
que nous avons passées ensemble
et pour tout l’amour
que nous avons partagé.
Espérez...
Je vous attends pour
partager avec vous le bonheur
des enfants de Dieu.
Aimez...
De toutes vos forces,
pour faire disparaître
la souffrance entre les hommes.
La séparation fut pénible
et je connais votre peine
mais il faut retrouver la paix.
Rendons plutôt grâce
pour ces merveilleuses années
que nous avons passées ensemble
et pour tout l’amour
que nous avons partagé.
Espérez...
Je vous attends pour
partager avec vous le bonheur
des enfants de Dieu.
Aimez...
De toutes vos forces,
pour faire disparaître
la souffrance entre les hommes.
PRI-030
Papa,
le foyer triste et vide
conserve le reflet
de ta grande bonté.
Ton cœur savait si bien
tout remplir de gaieté,
ensoleiller nos jours,
se faire notre guide.
Il semble qu’en ces lieux,
ton âme encore réside.
Papa,
nous garderons ton pieux souvenir
sur notre deuil
et notre souffrance.
Fais luire de là-haut
un rayon d’espérance.
Père,
veille sur nous, viens nous
bénir pour qu’un jour,
dans le Ciel où tu vas les attendre,
aucun de tes enfants
ne manque de se rendre.
Chers enfants,
ne m'oubliez pas,
restez unis entre vous.
le foyer triste et vide
conserve le reflet
de ta grande bonté.
Ton cœur savait si bien
tout remplir de gaieté,
ensoleiller nos jours,
se faire notre guide.
Il semble qu’en ces lieux,
ton âme encore réside.
Papa,
nous garderons ton pieux souvenir
sur notre deuil
et notre souffrance.
Fais luire de là-haut
un rayon d’espérance.
Père,
veille sur nous, viens nous
bénir pour qu’un jour,
dans le Ciel où tu vas les attendre,
aucun de tes enfants
ne manque de se rendre.
Chers enfants,
ne m'oubliez pas,
restez unis entre vous.
PRI-035
Mon Dieu,
donnez-moi la Sérénité
d’accepter les choses
que je ne puis changer,
le Courage de changer
les choses que je peux
et la Sagesse d’en
connaître la différence.
donnez-moi la Sérénité
d’accepter les choses
que je ne puis changer,
le Courage de changer
les choses que je peux
et la Sagesse d’en
connaître la différence.
PRI-040
Mon Dieu,
trop tôt hélas,
tu es venu chercher
cet être cher qui,
connaissant la souffrance
physique et morale,
ne cessait de combattre
pour des jours meilleurs.
Tu as choisi le plus doux,
le plus tendre des papas,
l'ami réconfortant et sincère;
dans ton paradis
si pur et si blanc,
donne-lui une place de choix
afin de lui rendre hommage.
Ce Grand Homme
a su quitter avec courage
et dignité son humble demeure
dont il était si fier...
En son nom,
Dieu tout puissant,
nous te remercions.
Amen!
trop tôt hélas,
tu es venu chercher
cet être cher qui,
connaissant la souffrance
physique et morale,
ne cessait de combattre
pour des jours meilleurs.
Tu as choisi le plus doux,
le plus tendre des papas,
l'ami réconfortant et sincère;
dans ton paradis
si pur et si blanc,
donne-lui une place de choix
afin de lui rendre hommage.
Ce Grand Homme
a su quitter avec courage
et dignité son humble demeure
dont il était si fier...
En son nom,
Dieu tout puissant,
nous te remercions.
Amen!
PRI-045
Nombreux sont les chemins.
Il a pris celui qui
plaisait à son coeur.
Sa vie fut simple.
Il aimait le soleil,
la terre, la pluie.
Tout résonnait en lui
d’un amour profond
et sincère.
Tout était manifestation
d’une grande et
infinie beauté.
Chaque geste, chaque parole,
chaque pensée était pour lui
un renouvellement.
Il a témoigné d’une
immense bonté et d’un
dévouement remarquable.
Il a su vivre intensément
et communiquer cette chaleur
à tous ceux qui le suivaient.
Puisse-t-il reposer en paix!
Il a pris celui qui
plaisait à son coeur.
Sa vie fut simple.
Il aimait le soleil,
la terre, la pluie.
Tout résonnait en lui
d’un amour profond
et sincère.
Tout était manifestation
d’une grande et
infinie beauté.
Chaque geste, chaque parole,
chaque pensée était pour lui
un renouvellement.
Il a témoigné d’une
immense bonté et d’un
dévouement remarquable.
Il a su vivre intensément
et communiquer cette chaleur
à tous ceux qui le suivaient.
Puisse-t-il reposer en paix!
PRI-050
Repose en paix, papa.
Dieu a vu
que tu te fatiguais
lorsque la guérison
ne venait pas.
Alors, Il t’a pris dans
ses bras et t’a dit doucement :
« Viens avec moi. »
Tu n’as pas mérité
ce que tu endurais.
Alors, Il t’a donné le repos.
Les jardins du Seigneur
sont si beaux. Il prend
seulement les meilleurs.
Et lorsque l’on t’a vu
dormir si paisiblement
et libre de toute douleur,
nous ne pouvions plus
désirer ton retour pour
souffrir à nouveau.
Repose en paix, papa.
Dieu a vu
que tu te fatiguais
lorsque la guérison
ne venait pas.
Alors, Il t’a pris dans
ses bras et t’a dit doucement :
« Viens avec moi. »
Tu n’as pas mérité
ce que tu endurais.
Alors, Il t’a donné le repos.
Les jardins du Seigneur
sont si beaux. Il prend
seulement les meilleurs.
Et lorsque l’on t’a vu
dormir si paisiblement
et libre de toute douleur,
nous ne pouvions plus
désirer ton retour pour
souffrir à nouveau.
Repose en paix, papa.
PRI-055
Savoir donner,
donner sans reprendre,
ne rien faire qu’apprendre.
Apprendre à aimer,
aimer sans attendre,
aimer à tout prendre,
apprendre à sourire,
rien que pour le geste,
sans vouloir le reste
et apprendre à vivre
et s’en aller.
donner sans reprendre,
ne rien faire qu’apprendre.
Apprendre à aimer,
aimer sans attendre,
aimer à tout prendre,
apprendre à sourire,
rien que pour le geste,
sans vouloir le reste
et apprendre à vivre
et s’en aller.
PRI-060
Seigneur,
vous nous l’aviez prêté
pour faire notre bonheur,
nous vous le cédons sans
murmurer, mais le cœur
navré de douleur.
Dieu l’a cueilli avant que
la terre ne l’ait flétri.
Ne pleurez pas conjointe,
mes frères et mes soeurs chéris, je serai pour vous
l’étoile qui luit.
Calmez votre douleur,
puisqu’au jardin céleste,
je deviens une fleur.
vous nous l’aviez prêté
pour faire notre bonheur,
nous vous le cédons sans
murmurer, mais le cœur
navré de douleur.
Dieu l’a cueilli avant que
la terre ne l’ait flétri.
Ne pleurez pas conjointe,
mes frères et mes soeurs chéris, je serai pour vous
l’étoile qui luit.
Calmez votre douleur,
puisqu’au jardin céleste,
je deviens une fleur.
PRI-065
Une nuit, un homme rêva
qu'il marchait en compagnie
de Jésus sur la rive.
À chaque scène, il
remarquait une double trace
de pas dans le sable.
Quand la dernière image
s’effaça, il s’aperçut
qu’à diverses reprises il n’y
avait qu’une empreinte
dans le sable.
Il s’adressa à Jésus:
« Seigneur, dit-il, Tu avais dit
que Tu m’accompagnerais tout
le long de la route. Mais je
constate qu’aux heures les
plus pénibles, les plus sombres
et les plus tristes de ma vie,
je ne puis voir qu’une seule
série d’empreintes.
Jésus répondit :
« Mon cher enfant,
aux jours d’épreuves
et de souffrances,
quand tu ne voyais qu’une
seule trace de pas,
c’est qu’alors je te portais. »
qu'il marchait en compagnie
de Jésus sur la rive.
À chaque scène, il
remarquait une double trace
de pas dans le sable.
Quand la dernière image
s’effaça, il s’aperçut
qu’à diverses reprises il n’y
avait qu’une empreinte
dans le sable.
Il s’adressa à Jésus:
« Seigneur, dit-il, Tu avais dit
que Tu m’accompagnerais tout
le long de la route. Mais je
constate qu’aux heures les
plus pénibles, les plus sombres
et les plus tristes de ma vie,
je ne puis voir qu’une seule
série d’empreintes.
Jésus répondit :
« Mon cher enfant,
aux jours d’épreuves
et de souffrances,
quand tu ne voyais qu’une
seule trace de pas,
c’est qu’alors je te portais. »
PRI-070
Unis dans la mort,
comme ils le furent dans la vie,
ce père et cette mère vénérés
continueront, par la
miséricorde de Dieu,
de nous envelopper de leur
tendresse et de nous guider
sur le droit chemin.
Ils se sont donnés
jusqu'à l’épuisement
pour leurs enfants.
Nous avons appris d’eux
le bonheur de vivre dans
l’amour, la concorde
et la paix,
fruits de la conformité
au bon vouloir divin.
comme ils le furent dans la vie,
ce père et cette mère vénérés
continueront, par la
miséricorde de Dieu,
de nous envelopper de leur
tendresse et de nous guider
sur le droit chemin.
Ils se sont donnés
jusqu'à l’épuisement
pour leurs enfants.
Nous avons appris d’eux
le bonheur de vivre dans
l’amour, la concorde
et la paix,
fruits de la conformité
au bon vouloir divin.
PRI-075
À ceux que j’aime... Et ceux qui m’aiment.
Quand je ne serai plus là,
relâchez-moi, laissez-moi partir.
J’ai tellement de choses
à faire et à voir.
Ne pleurez pas en pensant à moi,
soyez reconnaissants pour
les belles années.
Je vous ai donné mon amitié,
vous pouvez seulement deviner
le bonheur que vous m’avez apporté.
Je vous remercie de l’amour
que chacun m’a démontré.
Maintenant, il est temps de voyager seul.
Pour un court moment vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera
réconfort et consolation.
Nous serons séparés pour quelque temps,
laissez les souvenirs apaiser votre douleur.
Je ne suis pas loin, et la vie continue...
Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai.
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher,
je serai là. Et si vous écoutez votre cœur,
vous éprouverez clairement la douceur
de l’amour que j’apporterai.
Et quand il sera temps pour vous de partir,
je serai là pour vous accueillir.
Absent de mon corps, présent avec Dieu.
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,
je ne suis pas là, je ne dors pas.
Je suis les mille vents qui soufflent.
Je suis le scintillement des cristaux de neige.
Je suis la lumière que traversent les champs de blé.
Je suis la douce pluie d’automne.
Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin.
Je suis l’étoile qui brille dans la nuit.
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,
je ne suis pas là, je ne suis pas mort,
je suis partout…
Quand je ne serai plus là,
relâchez-moi, laissez-moi partir.
J’ai tellement de choses
à faire et à voir.
Ne pleurez pas en pensant à moi,
soyez reconnaissants pour
les belles années.
Je vous ai donné mon amitié,
vous pouvez seulement deviner
le bonheur que vous m’avez apporté.
Je vous remercie de l’amour
que chacun m’a démontré.
Maintenant, il est temps de voyager seul.
Pour un court moment vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera
réconfort et consolation.
Nous serons séparés pour quelque temps,
laissez les souvenirs apaiser votre douleur.
Je ne suis pas loin, et la vie continue...
Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai.
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher,
je serai là. Et si vous écoutez votre cœur,
vous éprouverez clairement la douceur
de l’amour que j’apporterai.
Et quand il sera temps pour vous de partir,
je serai là pour vous accueillir.
Absent de mon corps, présent avec Dieu.
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,
je ne suis pas là, je ne dors pas.
Je suis les mille vents qui soufflent.
Je suis le scintillement des cristaux de neige.
Je suis la lumière que traversent les champs de blé.
Je suis la douce pluie d’automne.
Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin.
Je suis l’étoile qui brille dans la nuit.
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,
je ne suis pas là, je ne suis pas mort,
je suis partout…
PRI-080
La vie, l'amour, la mort
C'est beau la vie,
comme un nœud dans le bois.
C'est bon la vie,
bue au creux de ta main.
Fragile aussi,
même celle du roi.
C'est dur la vie,
vous me comprenez bien.
C'est beau l'amour,
tu l'as écrit sur moi.
C'est bon l'amour,
quand tes mains le déploient.
C'est lourd l'amour,
accroché à nos reins.
C'est court l'amour,
et ça ne comprend rien.
C'est fou la mort,
plus méchant que le vent.
C'est sourd la mort,
comme un mort sur un banc.
C'est noir la mort,
et ça passe en riant.
C'est grand la mort,
c'est plein de vie dedans.
- Félix Leclerc
C'est beau la vie,
comme un nœud dans le bois.
C'est bon la vie,
bue au creux de ta main.
Fragile aussi,
même celle du roi.
C'est dur la vie,
vous me comprenez bien.
C'est beau l'amour,
tu l'as écrit sur moi.
C'est bon l'amour,
quand tes mains le déploient.
C'est lourd l'amour,
accroché à nos reins.
C'est court l'amour,
et ça ne comprend rien.
C'est fou la mort,
plus méchant que le vent.
C'est sourd la mort,
comme un mort sur un banc.
C'est noir la mort,
et ça passe en riant.
C'est grand la mort,
c'est plein de vie dedans.
- Félix Leclerc
PRI-085
Il a vu ce monde
tourner lentement
d’un regard paisible, rieur,
doux et bienveillant.
Entouré de ceux
dont il a fait le bonheur,
??????????
veille encore sur nous
de sa bonté et de
sa formidable gentillesse.
Il a veillé et veillera,
comme une force tranquille,
toujours ami, frère,
mari ou conjoint,
père et grand-père.
tourner lentement
d’un regard paisible, rieur,
doux et bienveillant.
Entouré de ceux
dont il a fait le bonheur,
??????????
veille encore sur nous
de sa bonté et de
sa formidable gentillesse.
Il a veillé et veillera,
comme une force tranquille,
toujours ami, frère,
mari ou conjoint,
père et grand-père.
PRI-090
La mort
d’une personne comme toi
laisse un vide immense
dans la vie de ceux
qui t'ont aimé.
Se souvenir de toi
est facile mais s’habituer
à ton absence est
très difficile.
Tu nous manques beaucoup
et nous ne t’oublierons jamais.
Tu resteras toujours
dans nos pensées
et dans nos cœurs.
Repose en paix là-haut
et continue de veiller sur nous
comme tu l’as toujours fait.
d’une personne comme toi
laisse un vide immense
dans la vie de ceux
qui t'ont aimé.
Se souvenir de toi
est facile mais s’habituer
à ton absence est
très difficile.
Tu nous manques beaucoup
et nous ne t’oublierons jamais.
Tu resteras toujours
dans nos pensées
et dans nos cœurs.
Repose en paix là-haut
et continue de veiller sur nous
comme tu l’as toujours fait.
PRI-095
Aujourd'hui,
le soleil brille, le ciel est bleu,
mais je suis triste de quitter
les personnes extraordinaires
qui m’entourent.
J’ai la chance d’avoir
des amis attachants,
et une famille magnifique.
J’ai en tête
tous ces bons moments
que nous avons passés ensemble…
Et il y en a tellement!
Je comprends que j’ai été
très chanceux et heureux
d’être aussi bien entouré.
Je vous souhaite
tout le bonheur que vous méritez;
c’est-à-dire, que du bonheur,
car c’est ce que vous méritez.
Je vous aime, je vous dis:
"Au revoir et à Dieu".
le soleil brille, le ciel est bleu,
mais je suis triste de quitter
les personnes extraordinaires
qui m’entourent.
J’ai la chance d’avoir
des amis attachants,
et une famille magnifique.
J’ai en tête
tous ces bons moments
que nous avons passés ensemble…
Et il y en a tellement!
Je comprends que j’ai été
très chanceux et heureux
d’être aussi bien entouré.
Je vous souhaite
tout le bonheur que vous méritez;
c’est-à-dire, que du bonheur,
car c’est ce que vous méritez.
Je vous aime, je vous dis:
"Au revoir et à Dieu".
PRI-100
Le Seigneur est mon berger:
je ne manquerai de rien.
Il me fait reposer
dans de verts pâturages,
il me mène à des eaux paisibles.
Il restaure mon âme;
il me conduit dans des sentiers
de justice, à cause de son nom.
Même quand je marcherai
par la vallée de l’ombre de la mort,
je ne craindrai aucun mal;
car tu es avec moi:
ta houlette et ton bâton,
ce sont eux qui me consolent.
Tu dresses devant moi
une table, en la présence
de mes ennemis;
tu as oint ma tête d’huile,
ma coupe est comble.
La bonté et la gratuité
me suivront tous les jours
de ma vie, et mon habitation
sera dans la maison du Seigneur
pour l’éternité.
- Psaume 23:1-6
je ne manquerai de rien.
Il me fait reposer
dans de verts pâturages,
il me mène à des eaux paisibles.
Il restaure mon âme;
il me conduit dans des sentiers
de justice, à cause de son nom.
Même quand je marcherai
par la vallée de l’ombre de la mort,
je ne craindrai aucun mal;
car tu es avec moi:
ta houlette et ton bâton,
ce sont eux qui me consolent.
Tu dresses devant moi
une table, en la présence
de mes ennemis;
tu as oint ma tête d’huile,
ma coupe est comble.
La bonté et la gratuité
me suivront tous les jours
de ma vie, et mon habitation
sera dans la maison du Seigneur
pour l’éternité.
- Psaume 23:1-6
PRI-105
À la mémoire d'un père
dont les enfants et la femme
furent la raison de vivre
de son existence.
Il nous a quittés bien tôt,
lui, si attaché à la vie
et qui aimait tant sa famille.
C'était un homme souriant,
affable, ouvert au monde;
fier de lui-même,
toujours vêtu avec élégance,
il savait s'effacer pour céder
la place aux autres.
Il avait un sens aigu
de l'équité, de la justice,
et c'est avec joie qu'il aimait
parler des qualités et des bons coups
de sa femme et de ses enfants.
Consolons-nous en pensant
qu'il a bien accompli ses
devoirs de père et qu'il
repose maintenant en paix.
Puisse-t-il demeurer
dans le cœur et l'esprit de
tous ceux et celles qui l'ont connu.
dont les enfants et la femme
furent la raison de vivre
de son existence.
Il nous a quittés bien tôt,
lui, si attaché à la vie
et qui aimait tant sa famille.
C'était un homme souriant,
affable, ouvert au monde;
fier de lui-même,
toujours vêtu avec élégance,
il savait s'effacer pour céder
la place aux autres.
Il avait un sens aigu
de l'équité, de la justice,
et c'est avec joie qu'il aimait
parler des qualités et des bons coups
de sa femme et de ses enfants.
Consolons-nous en pensant
qu'il a bien accompli ses
devoirs de père et qu'il
repose maintenant en paix.
Puisse-t-il demeurer
dans le cœur et l'esprit de
tous ceux et celles qui l'ont connu.
PRI-110
Il a été un père exemplaire;
bon,dévoué,
généreux, doux mais ferme.
Sa vie a été un don total
et continuel.
Il a vécu pour les autres,
pour son épouse
et ses enfants;
très rarement pour lui.
Il restera un modèle
pour tous.
Il nous laisse
comme héritage
l'exemple de ses vertus:
sa patience dans les épreuves et
son remarquable esprit
de travail.
Il a vu la mort venir;
il était prêt.
Sa mort est celle du juste:
le couronnement
de sa belle vie.
« Restez unis entre vous »,
nous disait-il,
« aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés moi-même ».
bon,dévoué,
généreux, doux mais ferme.
Sa vie a été un don total
et continuel.
Il a vécu pour les autres,
pour son épouse
et ses enfants;
très rarement pour lui.
Il restera un modèle
pour tous.
Il nous laisse
comme héritage
l'exemple de ses vertus:
sa patience dans les épreuves et
son remarquable esprit
de travail.
Il a vu la mort venir;
il était prêt.
Sa mort est celle du juste:
le couronnement
de sa belle vie.
« Restez unis entre vous »,
nous disait-il,
« aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés moi-même ».
PRI-115
Le Seigneur nous l'avait prêté. Il lui a manqué, Il l'a rappelé.
PRI-120
L'Adieu
Il est parti,
robuste et serein vers le ciel,
ce matin sans crainte
du lendemain
avec des yeux parsemés
de chagrin.
La vie fut pour lui remplie
de labeurs.
Mais il a travaillé avec toute
son ardeur à répandre dans sa famille,
frères et sœurs,
le renoncement
qui mène au bonheur.
Le cœur brisé d'amour
nous le reverrons un jour.
Pourquoi pleurer,
puisqu'il y a l'éternité.
Il est parti,
robuste et serein vers le ciel,
ce matin sans crainte
du lendemain
avec des yeux parsemés
de chagrin.
La vie fut pour lui remplie
de labeurs.
Mais il a travaillé avec toute
son ardeur à répandre dans sa famille,
frères et sœurs,
le renoncement
qui mène au bonheur.
Le cœur brisé d'amour
nous le reverrons un jour.
Pourquoi pleurer,
puisqu'il y a l'éternité.
PRI-125
La mort ne m'a pas laissé
le temps de vous dire Adieu.
Du haut du ciel, chère épouse
et enfants bien-aimés,
je vous suis pas à pas,
restez unis entre vous,
ne m'oubliez jamais.
Seigneur, vous savez
combien je désirais être
auprès des miens pour
leur faire du bien;
puisque vous m'avez
rappelé à vous,
Seigneur, prenez ma place
auprès d'eux, soyez leur ami
et leur consolateur.
le temps de vous dire Adieu.
Du haut du ciel, chère épouse
et enfants bien-aimés,
je vous suis pas à pas,
restez unis entre vous,
ne m'oubliez jamais.
Seigneur, vous savez
combien je désirais être
auprès des miens pour
leur faire du bien;
puisque vous m'avez
rappelé à vous,
Seigneur, prenez ma place
auprès d'eux, soyez leur ami
et leur consolateur.
PRI-130
Ô Vierge, il se fait tard,
tout s'endort sur la terre;
c'est l'heure du repos,
ne m'abandonne pas!
Mets ta main sur mes yeux,
comme une bonne mère,
ferme-les doucement
aux choses d'ici-bas.
De soucis, de chagrin,
mon âme est fatiguée.
Le travail qui m'attend
est là tout près de moi.
Mets ta main sur mon front,
arrête ma pensée;
doux sera mon repos,
s'il est béni par toi.
Pour que demain, plus fort,
ton humble enfant s'éveille
et reprenne gaiement
le poids
d'un nouveau jour.
Mets ta main sur mon cœur;
que lui seul toujours veille
et redise à son Dieu
un éternel amour.
tout s'endort sur la terre;
c'est l'heure du repos,
ne m'abandonne pas!
Mets ta main sur mes yeux,
comme une bonne mère,
ferme-les doucement
aux choses d'ici-bas.
De soucis, de chagrin,
mon âme est fatiguée.
Le travail qui m'attend
est là tout près de moi.
Mets ta main sur mon front,
arrête ma pensée;
doux sera mon repos,
s'il est béni par toi.
Pour que demain, plus fort,
ton humble enfant s'éveille
et reprenne gaiement
le poids
d'un nouveau jour.
Mets ta main sur mon cœur;
que lui seul toujours veille
et redise à son Dieu
un éternel amour.
PRI-135
PRIÈRE
de Saint François d'Assise
Seigneur,
faites de moi un instrument
de votre paix!
Là où est la haine...
que je mette l'amour.
Là où est l'offense...
que je mette le pardon.
Là où est la discorde...
que je mette l'union.
Là où est l'erreur...
que je mette la vérité.
Là où est le doute...
que je mette la foi.
Là où est le désespoir...
que je mette l'espérance.
Là où sont les ténèbres...
que je mette la lumière.
Là où est la tristesse...
que je mette la joie.
de Saint François d'Assise
Seigneur,
faites de moi un instrument
de votre paix!
Là où est la haine...
que je mette l'amour.
Là où est l'offense...
que je mette le pardon.
Là où est la discorde...
que je mette l'union.
Là où est l'erreur...
que je mette la vérité.
Là où est le doute...
que je mette la foi.
Là où est le désespoir...
que je mette l'espérance.
Là où sont les ténèbres...
que je mette la lumière.
Là où est la tristesse...
que je mette la joie.
PRI-140
Au fond d'un marécage,
vivaient quelques larves
qui ne pouvaient comprendre pourquoi nulle du groupe
ne revenait
après avoir rampé
au long des tiges jusqu'à
la surface de l'eau.
Elles se promirent
l'une à l'autre
que la prochaine qui serait
appelée à monter reviendrait
dire aux autres
ce qui lui était arrivé.
Bientôt l'une se sentit poussée de façon irrésistible à
gagner la surface;
elle se reposa au sommet
d'une feuille et subit une
transformation qui fit d'elle
une magnifique libellule.
Elle essaya en vain de
tenir sa promesse.
Volant d'un bout à l'autre
du marais, elle voyait bien
ses amies en bas.
Alors elle comprit que,
même si elles avaient pu
la voir,
elles n'auraient pas reconnu
comme une des leurs
une créature si radieuse.
Le fait que nous ne pouvons
voir nos amis
et communiquer avec eux
après la transformation
que nous appelons la mort
n'est pas une preuve qu'ils ont cessé d'exister.
vivaient quelques larves
qui ne pouvaient comprendre pourquoi nulle du groupe
ne revenait
après avoir rampé
au long des tiges jusqu'à
la surface de l'eau.
Elles se promirent
l'une à l'autre
que la prochaine qui serait
appelée à monter reviendrait
dire aux autres
ce qui lui était arrivé.
Bientôt l'une se sentit poussée de façon irrésistible à
gagner la surface;
elle se reposa au sommet
d'une feuille et subit une
transformation qui fit d'elle
une magnifique libellule.
Elle essaya en vain de
tenir sa promesse.
Volant d'un bout à l'autre
du marais, elle voyait bien
ses amies en bas.
Alors elle comprit que,
même si elles avaient pu
la voir,
elles n'auraient pas reconnu
comme une des leurs
une créature si radieuse.
Le fait que nous ne pouvons
voir nos amis
et communiquer avec eux
après la transformation
que nous appelons la mort
n'est pas une preuve qu'ils ont cessé d'exister.
PRI-145
Prière d'un Grand-père
Mon Dieu,
me voici au soir de ma vie;
comme ça passe vite.
Pourtant, je vous dis merci.
Je n'ai pas fait
de grandes choses.
J'étais seulement un papa
comme les autres.
J'ai essayé de bien faire
les petites choses.
J'ai aimé les enfants
que vous m'avez donnés.
Je me suis couché tard
pour les endormir.
Je me suis fait médecin
pour les soigner.
Je me suis dévoué
pour qu'ils apprennent
à donner.
Je me suis oublié
pour qu'ils sachent
se sacrifier.
J'ai accepté la souffrance
pour leur montrer
la patience.
Mon Dieu, quand je partirai
pour le grand voyage,
faites-moi penser de leur
laisser ma nouvelle adresse.
Mon Dieu,
me voici au soir de ma vie;
comme ça passe vite.
Pourtant, je vous dis merci.
Je n'ai pas fait
de grandes choses.
J'étais seulement un papa
comme les autres.
J'ai essayé de bien faire
les petites choses.
J'ai aimé les enfants
que vous m'avez donnés.
Je me suis couché tard
pour les endormir.
Je me suis fait médecin
pour les soigner.
Je me suis dévoué
pour qu'ils apprennent
à donner.
Je me suis oublié
pour qu'ils sachent
se sacrifier.
J'ai accepté la souffrance
pour leur montrer
la patience.
Mon Dieu, quand je partirai
pour le grand voyage,
faites-moi penser de leur
laisser ma nouvelle adresse.
PRI-150
Venez à sa rencontre,
Anges du Seigneur,
recevez son âme et conduisez-le
devant la face du Très-Haut.
Pensez à mon bonheur,
ne versez pas de larmes.
Je vous demandais la vie,
Seigneur, Vous me l'avez
donnée éternelle.
Ne pleurez pas, j'ai laissé
la souffrance pour
le bonheur,
la terre pour le ciel.
Si vous m'aimez,
priez beaucoup,
communiez souvent
pour moi.
Anges du Seigneur,
recevez son âme et conduisez-le
devant la face du Très-Haut.
Pensez à mon bonheur,
ne versez pas de larmes.
Je vous demandais la vie,
Seigneur, Vous me l'avez
donnée éternelle.
Ne pleurez pas, j'ai laissé
la souffrance pour
le bonheur,
la terre pour le ciel.
Si vous m'aimez,
priez beaucoup,
communiez souvent
pour moi.
PRI-155
Au jour le jour, prenez
votre vie dans vos mains.
Au fil des jours, prenez
votre vie de mes mains.
Au jour le jour, je vous en prie,
vivez votre vie, car au bout
de votre route, je serai là.
Surtout ne vous découragez pas,
car vous savez...
Je vous aime pour toujours.
votre vie dans vos mains.
Au fil des jours, prenez
votre vie de mes mains.
Au jour le jour, je vous en prie,
vivez votre vie, car au bout
de votre route, je serai là.
Surtout ne vous découragez pas,
car vous savez...
Je vous aime pour toujours.
PRI-160
Merci de m'avoir
toujours aimé.
Merci d'avoir été
près de moi.
Ne me pleurez pas,
ni maintenant,
ni jamais, car je serai toujours là
à vos côtés.
Je vous aime.
XXXXXX
toujours aimé.
Merci d'avoir été
près de moi.
Ne me pleurez pas,
ni maintenant,
ni jamais, car je serai toujours là
à vos côtés.
Je vous aime.
XXXXXX
PRI-165
Cher Ami
Rien ne nous avait préparés
à ton départ subit et surtout
de si triste et dure façon.
Nul mot ne saurait en expliquer la raison
et alléger le chagrin de tous tes amis.
Pourtant, nous sommes
aujourd'hui rassemblés
avec dans nos cœurs
une joie
que tu aurais souhaitée.
Un dernier moment précieux
pour célébrer l'amitié
qu'avec toi
nous avons partagée.
Hier n'est plus, mais l'amitié
est sans fin.
Un ami ne meurt jamais,
il survit dans nos cœurs.
Sois rassuré, tu croiseras
à nouveau nos chemins.
À nouveau nous pourrons rire en chœur.
Mais en attendant,
repose toi,
cher ami. Il te faudra nous
endurer pour la vie.
Rien ne nous avait préparés
à ton départ subit et surtout
de si triste et dure façon.
Nul mot ne saurait en expliquer la raison
et alléger le chagrin de tous tes amis.
Pourtant, nous sommes
aujourd'hui rassemblés
avec dans nos cœurs
une joie
que tu aurais souhaitée.
Un dernier moment précieux
pour célébrer l'amitié
qu'avec toi
nous avons partagée.
Hier n'est plus, mais l'amitié
est sans fin.
Un ami ne meurt jamais,
il survit dans nos cœurs.
Sois rassuré, tu croiseras
à nouveau nos chemins.
À nouveau nous pourrons rire en chœur.
Mais en attendant,
repose toi,
cher ami. Il te faudra nous
endurer pour la vie.
PRI-170
La mort n'est rien.
Je suis seulement passé
de l'autre côté.
Je suis moi, vous êtes vous.
Ce que nous étions les uns pour les autres,
nous le sommes toujours.
Donnez-moi le nom
que vous
m'avez toujours donné.
Parlez-moi comme vous
l'avez toujours fait.
N'employez pas
un ton différent.
Ne prenez pas un air
solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui
nous faisait rire ensemble...
Priez, souriez, pensez à moi.
Que mon nom soit prononcé
à la maison comme il l'a
toujours été, sans emphase
d'aucune sorte, sans
une trace d'ombre.
La vie signifie ce qu'elle a
toujours signifié.
Elle reste ce qu'elle a
toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors
de votre pensée, simplement
parce que je suis hors
de votre vue?
Je vous attends, je ne suis pas loin...
juste de l'autre côté
du chemin,
vous voyez, tout est bien.
Continuez.
- Canon Henry Scott Holland
Je suis seulement passé
de l'autre côté.
Je suis moi, vous êtes vous.
Ce que nous étions les uns pour les autres,
nous le sommes toujours.
Donnez-moi le nom
que vous
m'avez toujours donné.
Parlez-moi comme vous
l'avez toujours fait.
N'employez pas
un ton différent.
Ne prenez pas un air
solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui
nous faisait rire ensemble...
Priez, souriez, pensez à moi.
Que mon nom soit prononcé
à la maison comme il l'a
toujours été, sans emphase
d'aucune sorte, sans
une trace d'ombre.
La vie signifie ce qu'elle a
toujours signifié.
Elle reste ce qu'elle a
toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors
de votre pensée, simplement
parce que je suis hors
de votre vue?
Je vous attends, je ne suis pas loin...
juste de l'autre côté
du chemin,
vous voyez, tout est bien.
Continuez.
- Canon Henry Scott Holland
PRI-175
Un temps
Il y a un temps pour tout,
un temps pour naître
et un temps pour mourir,
un temps pour planter
et un temps pour arracher
ce qui a été planté,
un temps pour abattre
et un temps pour bâtir,
un temps pour pleurer
et un temps pour rire,
un temps pour se lamenter
et un temps pour danser,
un temps pour embrasser
et un temps pour s'éloigner
des embrassements,
un temps pour garder
et un temps pour jeter,
un temps pour se taire
et un temps pour parler,
un temps pour aimer
et un temps pour haïr,
un temps pour la guerre
et un temps pour la paix.
- Ecclésiaste 3, 1-8
Il y a un temps pour tout,
un temps pour naître
et un temps pour mourir,
un temps pour planter
et un temps pour arracher
ce qui a été planté,
un temps pour abattre
et un temps pour bâtir,
un temps pour pleurer
et un temps pour rire,
un temps pour se lamenter
et un temps pour danser,
un temps pour embrasser
et un temps pour s'éloigner
des embrassements,
un temps pour garder
et un temps pour jeter,
un temps pour se taire
et un temps pour parler,
un temps pour aimer
et un temps pour haïr,
un temps pour la guerre
et un temps pour la paix.
- Ecclésiaste 3, 1-8
PRI-180
C'est avec un nœud
dans le cœur
et une très grande peine
que nous perdons
cet être cher.
Il fut pour nous tous
un être irremplaçable
que l'on croyait
à l'épreuve de tout et même
de la mort; il était le pilier
de la famille.
Il était toujours là,
prêt à aider tous et chacun.
Seigneur, garde-lui une très grande place
près de Toi, car il le
mérite grandement.
C'est avec tout notre amour
et le cœur serré que nous
lui disons « Au revoir ».
dans le cœur
et une très grande peine
que nous perdons
cet être cher.
Il fut pour nous tous
un être irremplaçable
que l'on croyait
à l'épreuve de tout et même
de la mort; il était le pilier
de la famille.
Il était toujours là,
prêt à aider tous et chacun.
Seigneur, garde-lui une très grande place
près de Toi, car il le
mérite grandement.
C'est avec tout notre amour
et le cœur serré que nous
lui disons « Au revoir ».
PRI-185
Immortalité
Me voici au bord de la mer;
à mes côtés, un bateau déferle
ses blanches voiles à la brise du matin,
et part vers l'azur de l'océan.
C'est un voilier puissant et racé
et je le surveille jusqu'au moment où,
à la longue, il reste suspendu
comme un nuage blanc
là où la mer et le ciel
se donnent rendez-vous.
À côté de moi, quelqu'un dit
« Tiens, il est disparu.»
Disparu où?
Disparu de ma vue, voilà tout.
Il est toujours aussi haut de mâts,
aussi large de carlingue qu'au moment
où il était à mes côtés,
toujours aussi capable de porter
sa cargaison vivante
à destination.
Sa disparition est en moi, et non en lui;
et juste au moment où quelqu'un dit:
« Tiens, il est disparu »,
d'autres yeux le voient venir
et d'autres voix s'apprêtent à crier
« Tiens, le voici. »
Et c'est cela, mourir.
Me voici au bord de la mer;
à mes côtés, un bateau déferle
ses blanches voiles à la brise du matin,
et part vers l'azur de l'océan.
C'est un voilier puissant et racé
et je le surveille jusqu'au moment où,
à la longue, il reste suspendu
comme un nuage blanc
là où la mer et le ciel
se donnent rendez-vous.
À côté de moi, quelqu'un dit
« Tiens, il est disparu.»
Disparu où?
Disparu de ma vue, voilà tout.
Il est toujours aussi haut de mâts,
aussi large de carlingue qu'au moment
où il était à mes côtés,
toujours aussi capable de porter
sa cargaison vivante
à destination.
Sa disparition est en moi, et non en lui;
et juste au moment où quelqu'un dit:
« Tiens, il est disparu »,
d'autres yeux le voient venir
et d'autres voix s'apprêtent à crier
« Tiens, le voici. »
Et c'est cela, mourir.
PRI-190
Pour consoler dans la souffrance
ceux qui ont la foi en l'avenir,
Dieu fit un frère à l'espérance
et le nomma Souvenir.
ceux qui ont la foi en l'avenir,
Dieu fit un frère à l'espérance
et le nomma Souvenir.
PRI-195
Pourquoi naître s'il nous faut mourir ?
S'il nous faut naître pour mourir
il nous faut aussi peut-être
mourir pour renaître.
Il n'est pas facile de naître,
comme il n'est pas facile de mourir.
Car nous avons tous peur
de quitter la vie que nous connaissons,
pour une autre vie, qui,
elle, est inconnue.
De même qu'il existe des naissances
avant terme, il y a des morts qui
nous semblent bien prématurées.
Comme le fleuve devient la mer,
la chrysalide aussi abandonne son cocon
pour devenir papillon de liberté.
À moins qu'il ne meure,
le grain ne porte aucun fruit.
Il nous faut donc quitter un jour
notre manteau d'hiver,
pour vivre un printemps nouveau.
La vie ne nous est pas ôtée.
Elle est transformée.
Finalement la mort n'existe pas.
Bien sûr, il y a la mort corporelle
qui fait souffrir et pleurer,
mais ce n'est pas la mort spirituelle.
La mort est comme une porte,
un passage, vers le pays de la Lumière.
S'il nous faut naître pour mourir
il nous faut aussi peut-être
mourir pour renaître.
Il n'est pas facile de naître,
comme il n'est pas facile de mourir.
Car nous avons tous peur
de quitter la vie que nous connaissons,
pour une autre vie, qui,
elle, est inconnue.
De même qu'il existe des naissances
avant terme, il y a des morts qui
nous semblent bien prématurées.
Comme le fleuve devient la mer,
la chrysalide aussi abandonne son cocon
pour devenir papillon de liberté.
À moins qu'il ne meure,
le grain ne porte aucun fruit.
Il nous faut donc quitter un jour
notre manteau d'hiver,
pour vivre un printemps nouveau.
La vie ne nous est pas ôtée.
Elle est transformée.
Finalement la mort n'existe pas.
Bien sûr, il y a la mort corporelle
qui fait souffrir et pleurer,
mais ce n'est pas la mort spirituelle.
La mort est comme une porte,
un passage, vers le pays de la Lumière.
PRI-200
Hier, Aujourd'hui, Demain
Nous avions ensemble
fait tant de choses
et voilà que maintenant
tu nous quittes.
Nous avons mangé et bu avec toi,
avec toi nous avons partagé
les soucis et les travaux quotidiens,
avec toi nous avons partagé
tant de projets et tant d'espoirs.
Il y a tant de choses encore
que nous aurions voulu
faire ensemble.
Mais tout cela semble
s'arrêter aujourd'hui et
ce n'est plus ensemble que
nous allons réaliser ce que tu espérais.
Nous voudrions nous souvenir de toi
continuer de travailler
à tout ce que tu attends,
à tout ce que tu espérais.
Comme un mur, la mort
nous sépare de toi, comme
le souffle du vent
qui balaie les obstacles,
notre amitié, notre affection
et notre espérance s'en iront
te rejoindre là où tu nous attends.
Nous avions ensemble
fait tant de choses
et voilà que maintenant
tu nous quittes.
Nous avons mangé et bu avec toi,
avec toi nous avons partagé
les soucis et les travaux quotidiens,
avec toi nous avons partagé
tant de projets et tant d'espoirs.
Il y a tant de choses encore
que nous aurions voulu
faire ensemble.
Mais tout cela semble
s'arrêter aujourd'hui et
ce n'est plus ensemble que
nous allons réaliser ce que tu espérais.
Nous voudrions nous souvenir de toi
continuer de travailler
à tout ce que tu attends,
à tout ce que tu espérais.
Comme un mur, la mort
nous sépare de toi, comme
le souffle du vent
qui balaie les obstacles,
notre amitié, notre affection
et notre espérance s'en iront
te rejoindre là où tu nous attends.
PRI-205
C'est bien naturel
Quand on pense à ton grand âge
c'est bien naturel que tu sois parti.
Nous nous y attendions :
il y avait si longtemps que tu souffrais,
que tu t'affaiblissais et que tu nous disais:
"mon heure approche".
Pourtant nous souffrons,
car ceux qu'on aime n'ont pas d'âge;
on les aime, c'est tout.
Tu retrouves maintenant
ceux que tu as aimés.
Certains sont partis déjà
depuis bien longtemps.
Nous ne les connaissions pas,
mais tu nous en parlais.
Maintenant tu les vois.
Quand on pense à ton grand âge
c'est bien naturel que tu sois parti.
Nous nous y attendions :
il y avait si longtemps que tu souffrais,
que tu t'affaiblissais et que tu nous disais:
"mon heure approche".
Pourtant nous souffrons,
car ceux qu'on aime n'ont pas d'âge;
on les aime, c'est tout.
Tu retrouves maintenant
ceux que tu as aimés.
Certains sont partis déjà
depuis bien longtemps.
Nous ne les connaissions pas,
mais tu nous en parlais.
Maintenant tu les vois.
PRI-210
C'est qui Grand-Père?
Dans le dictionnaire, c'est le père
de notre père ou de notre mère.
Mais ce ne sont que des mots!
C'est qui en fait, Grand-Père?
Grand-Père, c'est comme amour.
Celui que l'on donne avec liberté,
générosité et sincérité.
Grand-Père, c'est comme réconfort.
Quelle force, quel courage
de redonner le moral, la confiance
à ceux qui l'ont perdue
quand on est âgé comme toi.
Grand-Père, c'est comme bonté.
Partager, regarder, se préoccuper
de son prochain: comme tu savais
si bien le faire!
Grand-Père, c'est comme gâteau.
Ces après-midi passés ensemble,
goûter, jeux, chansons, enfance, joie.
Grand-Père, c'est comme foi.
La tienne si grande, si simple
et si pure que cela, parfois, nous
donnait envie de l'accaparer.
Grand-Père, c'est comme prière.
Ce temps passé, ces tonnes de mots
prononcés, cette énergie déployée,
cette volonté formidable!
Grand-Père, c'est comme famille.
Le trait-d'union, le lien,
le centre, parce que l'on se sentait bien,
près de toi, ensemble!
Grand-Père, c'est comme souffrance.
Celle qui t'accompagnait tous les jours
et que tu offrais sans te
plaindre, toujours!
Dans le dictionnaire, c'est le père
de notre père ou de notre mère.
Mais ce ne sont que des mots!
C'est qui en fait, Grand-Père?
Grand-Père, c'est comme amour.
Celui que l'on donne avec liberté,
générosité et sincérité.
Grand-Père, c'est comme réconfort.
Quelle force, quel courage
de redonner le moral, la confiance
à ceux qui l'ont perdue
quand on est âgé comme toi.
Grand-Père, c'est comme bonté.
Partager, regarder, se préoccuper
de son prochain: comme tu savais
si bien le faire!
Grand-Père, c'est comme gâteau.
Ces après-midi passés ensemble,
goûter, jeux, chansons, enfance, joie.
Grand-Père, c'est comme foi.
La tienne si grande, si simple
et si pure que cela, parfois, nous
donnait envie de l'accaparer.
Grand-Père, c'est comme prière.
Ce temps passé, ces tonnes de mots
prononcés, cette énergie déployée,
cette volonté formidable!
Grand-Père, c'est comme famille.
Le trait-d'union, le lien,
le centre, parce que l'on se sentait bien,
près de toi, ensemble!
Grand-Père, c'est comme souffrance.
Celle qui t'accompagnait tous les jours
et que tu offrais sans te
plaindre, toujours!
PRI-220
Pour la mort d'un être cher
Nous l'avons tellement aimé,
lui qui était si heureux
de vivre avec ceux qu'il aimait,
lui qui était si heureux
de laisser entrer le soleil dans sa maison
et dans son cœur,
lui qui était si heureux
des rencontres familiales, lui qui était
si plein de tendresse et de délicatesse.
Et ne nous laisse pas seuls,
Seigneur, au fond de notre tristesse.
Aide-nous à supporter
le vide creusé parmi nous.
Nous l'avons tellement aimé,
lui qui était si heureux
de vivre avec ceux qu'il aimait,
lui qui était si heureux
de laisser entrer le soleil dans sa maison
et dans son cœur,
lui qui était si heureux
des rencontres familiales, lui qui était
si plein de tendresse et de délicatesse.
Et ne nous laisse pas seuls,
Seigneur, au fond de notre tristesse.
Aide-nous à supporter
le vide creusé parmi nous.
PRI-225
Au bout de la route
Au bout de la route,
il n'y a pas la route,
mais le terme du pèlerinage.
Au bout de l'ascension,
il n'y a pas l'ascension,
mais le sommet.
Au bout de la nuit,
il n'y a pas la nuit,
mais le printemps.
Au bout de la mort,
il n'y a pas la mort,
mais la Vie.
Au bout du désespoir,
il n'y a pas le désespoir,
mais l'Espérance.
Au bout de l'humanité,
il n'y a pas l'homme,
mais la Résurrection.
- Joseph Folliet
Au bout de la route,
il n'y a pas la route,
mais le terme du pèlerinage.
Au bout de l'ascension,
il n'y a pas l'ascension,
mais le sommet.
Au bout de la nuit,
il n'y a pas la nuit,
mais le printemps.
Au bout de la mort,
il n'y a pas la mort,
mais la Vie.
Au bout du désespoir,
il n'y a pas le désespoir,
mais l'Espérance.
Au bout de l'humanité,
il n'y a pas l'homme,
mais la Résurrection.
- Joseph Folliet
PRI-230
Adieu
Adieu, mes chers parents,
mes amis précieux!
Je monte à Dieu,
je monte à Notre Père.
Les combats sont finis,
je sors de la misère
et j'échange aujourd'hui la terre
pour les cieux.
Essuyez par la foi
les larmes de vos yeux.
Bannissez de vos cœurs
votre douleur amère.
Et si jamais pour moi
votre amour fut sincère,
contemplez mon bonheur
et soyez-en joyeux.
- Laurent Drelincourt
Adieu, mes chers parents,
mes amis précieux!
Je monte à Dieu,
je monte à Notre Père.
Les combats sont finis,
je sors de la misère
et j'échange aujourd'hui la terre
pour les cieux.
Essuyez par la foi
les larmes de vos yeux.
Bannissez de vos cœurs
votre douleur amère.
Et si jamais pour moi
votre amour fut sincère,
contemplez mon bonheur
et soyez-en joyeux.
- Laurent Drelincourt
PRI-235
La mort comme une saison
Croire, c'est vouloir vivre.
Vivre jusqu'au bout
malgré la mort.
Croire, c'est vivre en la vie.
Et donner la vie,
c'est combattre la mort.
À chaque printemps,
l'arbre refleurit.
Et l'automne alors, et l'hiver,
ne sont plus que des saisons
parmi d'autres.
Il faut que l'homme apprenne
à voir la mort comme
un moment de la vie.
- Martin Gray
Croire, c'est vouloir vivre.
Vivre jusqu'au bout
malgré la mort.
Croire, c'est vivre en la vie.
Et donner la vie,
c'est combattre la mort.
À chaque printemps,
l'arbre refleurit.
Et l'automne alors, et l'hiver,
ne sont plus que des saisons
parmi d'autres.
Il faut que l'homme apprenne
à voir la mort comme
un moment de la vie.
- Martin Gray
PRI-240
Le Seigneur est un jardinier.
Il regarde grandir les fleurs
qu'Il a semées sur Terre.
Et si parfois il cueille les plus belles,
c'est pour les faire revivre
dans Son jardin d'amour.
Mais leur parfum
ne s'évanouit jamais :
il vit, vibrant souvenir,
au cœur de ceux qui les ont aimées.
Il regarde grandir les fleurs
qu'Il a semées sur Terre.
Et si parfois il cueille les plus belles,
c'est pour les faire revivre
dans Son jardin d'amour.
Mais leur parfum
ne s'évanouit jamais :
il vit, vibrant souvenir,
au cœur de ceux qui les ont aimées.
PRI-245
Console-toi, chère épouse,
tu as fait mon bonheur ici-bas,
je t'aimerai au Ciel
comme je t'aimais sur la Terre.
Mes chers enfants,
je vous en supplie
ne m'oubliez jamais.
Pourquoi pleurer mon départ
puisque la mort est la fin
de mes souffrances.
Soumis à la volonté du bon Dieu,
j'ai vu venir la mort avec le calme
et le courage que donne la foi.
Qu'il est doux de mourir
quand on a bien souffert;
qu'il est doux de s'endormir sur la croix
et de s'éveiller pour entrer au ciel.
Si vous m'aimez, priez beaucoup,
communiez souvent pour moi.
Ô mon Dieu, bénissez ma famille
et soyez le protecteur
de mes enfants.
tu as fait mon bonheur ici-bas,
je t'aimerai au Ciel
comme je t'aimais sur la Terre.
Mes chers enfants,
je vous en supplie
ne m'oubliez jamais.
Pourquoi pleurer mon départ
puisque la mort est la fin
de mes souffrances.
Soumis à la volonté du bon Dieu,
j'ai vu venir la mort avec le calme
et le courage que donne la foi.
Qu'il est doux de mourir
quand on a bien souffert;
qu'il est doux de s'endormir sur la croix
et de s'éveiller pour entrer au ciel.
Si vous m'aimez, priez beaucoup,
communiez souvent pour moi.
Ô mon Dieu, bénissez ma famille
et soyez le protecteur
de mes enfants.
PRI-250
Je ne dors pas...
À pleurer devant ma tombe,
ne reste pas.
Je ne suis pas là,
je ne dors pas.
Je suis un millier de vents
qui soufflent.
Je suis les reflets de diamant
sur la neige.
Je suis la lumière du soleil
sur le grain qui mûrit.
Je suis l'étoile qui brille
dans la nuit.
Je suis la douce pluie d'automne.
À pleurer devant ma tombe,
ne reste pas.
Je ne suis pas mort,
je suis ailleurs.
À pleurer devant ma tombe,
ne reste pas.
Je ne suis pas là,
je ne dors pas.
Je suis un millier de vents
qui soufflent.
Je suis les reflets de diamant
sur la neige.
Je suis la lumière du soleil
sur le grain qui mûrit.
Je suis l'étoile qui brille
dans la nuit.
Je suis la douce pluie d'automne.
À pleurer devant ma tombe,
ne reste pas.
Je ne suis pas mort,
je suis ailleurs.
PRI-255
On dit qu'avant d'ouvrir
les portes du paradis,
Dieu pèse les âmes.
Ce qui en fait le poids,
c'est l'amour d'une vie.
Nous croyons que,
sur la balance céleste,
il fera sûrement le poids.
De ses enfants,
comme de ses petits-enfants,
peu importe ce qu'on avait fait,
il avait toujours un bon mot
d'encouragement, de félicitations
face à nos réalisations,
à nos exploits...
Confident à ses heures,
il savait trouver le temps
de nous écouter, de consoler nos peines,
d'épauler nos efforts
et de nous consoler lors
de nos faiblesses.
Nous sommes certains qu'il
est toujours à l'écoute.
les portes du paradis,
Dieu pèse les âmes.
Ce qui en fait le poids,
c'est l'amour d'une vie.
Nous croyons que,
sur la balance céleste,
il fera sûrement le poids.
De ses enfants,
comme de ses petits-enfants,
peu importe ce qu'on avait fait,
il avait toujours un bon mot
d'encouragement, de félicitations
face à nos réalisations,
à nos exploits...
Confident à ses heures,
il savait trouver le temps
de nous écouter, de consoler nos peines,
d'épauler nos efforts
et de nous consoler lors
de nos faiblesses.
Nous sommes certains qu'il
est toujours à l'écoute.
PRI-260
Mes enfants, je meurs,
mon pèlerinage est fini.
Je vous en supplie,
ne m'oubliez jamais!
Restez unis entre vous,
demeurez inébranlables
dans la Foi.
Bientôt nous nous réunirons
dans l'éternité.
Je meurs, mais mon amitié
ne meurt pas, je vous aimerai
au Ciel comme je vous aimais
sur la terre.
- St Jean B.
Sa mort a laissé dans nos cœurs
une plaie profonde.
mon pèlerinage est fini.
Je vous en supplie,
ne m'oubliez jamais!
Restez unis entre vous,
demeurez inébranlables
dans la Foi.
Bientôt nous nous réunirons
dans l'éternité.
Je meurs, mais mon amitié
ne meurt pas, je vous aimerai
au Ciel comme je vous aimais
sur la terre.
- St Jean B.
Sa mort a laissé dans nos cœurs
une plaie profonde.
PRI-265
Ne pleurez pas, je vais à Dieu,
je vais vous attendre au Ciel;
là où la famille se reformera,
et les larmes seront séchées.
Ô, vous que j'ai tant aimés
sur la Terre, priez pour moi;
vivez toujours de manière
que nous puissions être au Ciel.
Réjouissez-vous avec moi
de ce que je quitte cette Terre
de peines pour aller
au séjour de la paix.
Consolez-vous,
tournez vos regards vers le Ciel,
pensez qu'un jour viendra
où vous mourrez tous,
et lorsque vous viendrez
chercher votre récompense,
je serai à votre rencontre,
suppliant Dieu à mon tour
de vous ouvrir la Céleste Patrie.
La mort nous a séparés,
le souvenir et la prière
doivent nous unir.
Adieu!
Au revoir au Ciel.
je vais vous attendre au Ciel;
là où la famille se reformera,
et les larmes seront séchées.
Ô, vous que j'ai tant aimés
sur la Terre, priez pour moi;
vivez toujours de manière
que nous puissions être au Ciel.
Réjouissez-vous avec moi
de ce que je quitte cette Terre
de peines pour aller
au séjour de la paix.
Consolez-vous,
tournez vos regards vers le Ciel,
pensez qu'un jour viendra
où vous mourrez tous,
et lorsque vous viendrez
chercher votre récompense,
je serai à votre rencontre,
suppliant Dieu à mon tour
de vous ouvrir la Céleste Patrie.
La mort nous a séparés,
le souvenir et la prière
doivent nous unir.
Adieu!
Au revoir au Ciel.
PRI-270
NE PLEUREZ PAS
Ne pleurez pas si vous m’aimez.
Je suis seulement passé
dans la pièce à côté.
Je suis moi, vous êtes vous
Ce que nous étions
les uns pour les autres,
nous le sommes toujours.
Donnez-moi le nom que
vous m’avez toujours donné.
Parlez-moi comme
vous l’avez toujours fait,
n’employez pas un ton différent.
Ne prenez pas
un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui
nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez, pensez à moi,
priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé
comme il l’a toujours été,
sans emphase d’aucune sorte,
sans une trace d’ombre.
La vie signifie
ce qu’elle a toujours signifié.
Elle est ce qu’elle a toujours été.
Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors
de votre pensée simplement
parce que je suis hors
de votre vue?
Je vous attends,
je ne suis pas loin,
juste de l’autre côté du chemin.
Vous voyez, tout est bien.
Ne pleurez pas si vous m’aimez.
Je suis seulement passé
dans la pièce à côté.
Je suis moi, vous êtes vous
Ce que nous étions
les uns pour les autres,
nous le sommes toujours.
Donnez-moi le nom que
vous m’avez toujours donné.
Parlez-moi comme
vous l’avez toujours fait,
n’employez pas un ton différent.
Ne prenez pas
un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui
nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez, pensez à moi,
priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé
comme il l’a toujours été,
sans emphase d’aucune sorte,
sans une trace d’ombre.
La vie signifie
ce qu’elle a toujours signifié.
Elle est ce qu’elle a toujours été.
Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors
de votre pensée simplement
parce que je suis hors
de votre vue?
Je vous attends,
je ne suis pas loin,
juste de l’autre côté du chemin.
Vous voyez, tout est bien.
PRI-275
Il restera de toi
Il restera de toi
ce que tu as donné.
Au lieu de le garder
dans des coffres rouillés.
Il restera de toi
de ton jardin secret,
Une fleur oubliée
qui ne s’est pas fanée.
Ce que tu as donné,
En d’autres fleurira.
Celui qui perd sa vie
Un jour la trouvera.
Il restera de toi
ce que tu as offert
Entre les bras ouverts
un matin au soleil.
Il restera de toi
ce que tu as perdu
Que tu as attendu plus loin
que les réveils,
Ce que tu as souffert,
En d’autres revivra.
Celui qui perd sa vie
Un jour la trouvera.
Il restera de toi
une larme tombée,
Un sourire germé
sur les yeux de ton cœur.
Il restera de toi
ce que tu as semé
Que tu as partagé
aux mendiants du bonheur.
Ce que tu as semé
En d’autres germera.
Celui qui perd sa vie
Un jour la trouvera.
- Simone Veil
Il restera de toi
ce que tu as donné.
Au lieu de le garder
dans des coffres rouillés.
Il restera de toi
de ton jardin secret,
Une fleur oubliée
qui ne s’est pas fanée.
Ce que tu as donné,
En d’autres fleurira.
Celui qui perd sa vie
Un jour la trouvera.
Il restera de toi
ce que tu as offert
Entre les bras ouverts
un matin au soleil.
Il restera de toi
ce que tu as perdu
Que tu as attendu plus loin
que les réveils,
Ce que tu as souffert,
En d’autres revivra.
Celui qui perd sa vie
Un jour la trouvera.
Il restera de toi
une larme tombée,
Un sourire germé
sur les yeux de ton cœur.
Il restera de toi
ce que tu as semé
Que tu as partagé
aux mendiants du bonheur.
Ce que tu as semé
En d’autres germera.
Celui qui perd sa vie
Un jour la trouvera.
- Simone Veil
PRI-280
À papa
Sans toi mes nuits
Sont remplies de pluie
Mais de penser à toi
Me comble de joie
Tu es mon étoile,
Tu illumines mes nuits
Tu lèves le voile
Sur le chemin de la vie
Toi l’être d’amour
Tu as donné sans retour
Un cadeau merveilleux
Oh combien si précieux
Sans toi mes nuits
Sont remplies de pluie
Mais de penser à toi
Me comble de joie
Tu es mon étoile,
Tu illumines mes nuits
Tu lèves le voile
Sur le chemin de la vie
Toi l’être d’amour
Tu as donné sans retour
Un cadeau merveilleux
Oh combien si précieux
PRI-285
Chanson d’automne
Les sanglots longs
Des violons de l’automne
Blessent mon cœur
D'une langueur monotone
Tout suffocant et blême,
Quand sonne l’heure
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure;
Et je m’en vais
Au vent mauvais
Qui m’emporte
Deçà, delà,
Pareil à la feuille morte.
- Paul Verlaine
Les sanglots longs
Des violons de l’automne
Blessent mon cœur
D'une langueur monotone
Tout suffocant et blême,
Quand sonne l’heure
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure;
Et je m’en vais
Au vent mauvais
Qui m’emporte
Deçà, delà,
Pareil à la feuille morte.
- Paul Verlaine
PRI-290
Renaissance
Voir enfin la lumière
Après avoir connu
L’obscurité la plus totale
Mais y être arrivé doucement
Couche après couche
Les nuages se sont dégagés
Comme le jour après la nuit
D’abord l’aurore, le petit matin
Puis le soleil
Dans toute sa splendeur
Comme la graine mise en terre
Souffre et se meurt
Éclate pour donner naissance
À la fleur
Qui durera ce qu’elle durera
Avant de retourner à la terre
Pour la prochaine transformation
La vie, la mort, la vie
Le jeu éternel de l’énergie
Comme la chenille s’emprisonne
Dans son cocon tissé par elle
Pour un long sommeil
Inquiétant, mais confiant
Et voilà qu’elle se mue
En papillon fragile
Aux ailes malhabiles
Qui s’ouvrent
Et le mènent à la vie.
- Claudette Gravel
Voir enfin la lumière
Après avoir connu
L’obscurité la plus totale
Mais y être arrivé doucement
Couche après couche
Les nuages se sont dégagés
Comme le jour après la nuit
D’abord l’aurore, le petit matin
Puis le soleil
Dans toute sa splendeur
Comme la graine mise en terre
Souffre et se meurt
Éclate pour donner naissance
À la fleur
Qui durera ce qu’elle durera
Avant de retourner à la terre
Pour la prochaine transformation
La vie, la mort, la vie
Le jeu éternel de l’énergie
Comme la chenille s’emprisonne
Dans son cocon tissé par elle
Pour un long sommeil
Inquiétant, mais confiant
Et voilà qu’elle se mue
En papillon fragile
Aux ailes malhabiles
Qui s’ouvrent
Et le mènent à la vie.
- Claudette Gravel
PRI-295
Prière du réconfort
Je suis la vie,
la lumière et la voie.
La terre est mon jardin.
Chacune des âmes que je sème
Germe et fleurit en sa saison,
Et chaque fleur
me comble de joie.
Je n’ai pas de chagrin
Quand une fleur se fane
Au contraire je me réjouis
De la beauté qu’elle contenait.
C’est aussi une occasion
de rendre grâce,
Car ma volonté est faite
Et mes desseins servis.
Je suis avec toutes les créatures
Et aucune n’est jamais perdue
Elle ne m’est que rendue,
car elle ne m’a jamais quitté,
Car elle est éternelle
Ne saurait être séparée
de sa source.
Je suis avec vous tous,
Et chacun d’entre vous
est la voie de ma lumière,
sentez mon amour
vous envelopper
Maintenant et à jamais.
Je suis la vie,
la lumière et la voie.
La terre est mon jardin.
Chacune des âmes que je sème
Germe et fleurit en sa saison,
Et chaque fleur
me comble de joie.
Je n’ai pas de chagrin
Quand une fleur se fane
Au contraire je me réjouis
De la beauté qu’elle contenait.
C’est aussi une occasion
de rendre grâce,
Car ma volonté est faite
Et mes desseins servis.
Je suis avec toutes les créatures
Et aucune n’est jamais perdue
Elle ne m’est que rendue,
car elle ne m’a jamais quitté,
Car elle est éternelle
Ne saurait être séparée
de sa source.
Je suis avec vous tous,
Et chacun d’entre vous
est la voie de ma lumière,
sentez mon amour
vous envelopper
Maintenant et à jamais.
PRI-300
Soleils couchants
Le soleil s'est couché
ce soir dans les nuées.
Demain viendra l'orage,
et le soir, et la nuit;
Puis l'aube, et ses clartés
de vapeurs obstruées;
Puis les nuits, puis les jours,
pas du temps qui s'enfuit !
Tous ces jours passeront;
ils passeront en foule
Sur la face des mers,
sur la face des monts,
Sur les fleuves d'argent,
sur les forêts où roule
Comme un hymne confus
des morts que nous aimons.
Et la face des eaux,
et le front des montagnes,
Ridés et non vieillis,
et les bois toujours verts
S'iront rajeunissant;
le fleuve des campagnes
Prendra sans cesse aux monts
le flot qu'il donne aux mers.
Mais moi, sous chaque jour
courbant plus bas ma tête,
Je passe, et, refroidi
sous ce soleil joyeux,
Je m'en irai bientôt,
au milieu de la fête,
Sans que rien manque au monde,
immense et radieux !
- Victor Hugo
Le soleil s'est couché
ce soir dans les nuées.
Demain viendra l'orage,
et le soir, et la nuit;
Puis l'aube, et ses clartés
de vapeurs obstruées;
Puis les nuits, puis les jours,
pas du temps qui s'enfuit !
Tous ces jours passeront;
ils passeront en foule
Sur la face des mers,
sur la face des monts,
Sur les fleuves d'argent,
sur les forêts où roule
Comme un hymne confus
des morts que nous aimons.
Et la face des eaux,
et le front des montagnes,
Ridés et non vieillis,
et les bois toujours verts
S'iront rajeunissant;
le fleuve des campagnes
Prendra sans cesse aux monts
le flot qu'il donne aux mers.
Mais moi, sous chaque jour
courbant plus bas ma tête,
Je passe, et, refroidi
sous ce soleil joyeux,
Je m'en irai bientôt,
au milieu de la fête,
Sans que rien manque au monde,
immense et radieux !
- Victor Hugo
PRI-305
POUR UN NOUVEAU VOYAGE
Quelqu'un meurt,
Et c’est comme des pas
Qui s’arrêtent.
Mais si c’était un départ
Pour un nouveau voyage…
Quelqu'un meurt,
Et c’est comme
une porte qui claque.
Mais si c’était
un passage s'ouvrant
sur d’autres paysages…
Quelqu'un meurt,
Et c’est comme
un arbre qui tombe.
Mais si c’était
une graine germant
dans une terre nouvelle...
Quelqu'un meurt,
Et c’est comme
un silence qui hurle.
Mais s’il nous aidait
à entendre la fragile
musique de la vie…
- Benoît Marchon
Quelqu'un meurt,
Et c’est comme des pas
Qui s’arrêtent.
Mais si c’était un départ
Pour un nouveau voyage…
Quelqu'un meurt,
Et c’est comme
une porte qui claque.
Mais si c’était
un passage s'ouvrant
sur d’autres paysages…
Quelqu'un meurt,
Et c’est comme
un arbre qui tombe.
Mais si c’était
une graine germant
dans une terre nouvelle...
Quelqu'un meurt,
Et c’est comme
un silence qui hurle.
Mais s’il nous aidait
à entendre la fragile
musique de la vie…
- Benoît Marchon
PRI-310
Je vivrai par-delà la mort
Je vivrai par-delà la mort,
Je chanterai à vos oreilles
Même après avoir été emporté,
Par la grande vague de la mer
Jusqu'au plus profond de l’océan.
Je m’assiérai à votre table
Bien que mon corps
paraisse absent,
Je vous accompagnerai
dans vos champs,
Esprit invisible.
Je m’installerai avec vous
devant l’âtre,
Hôte invisible aussi.
La mort ne change
que les masques
Qui recouvrent nos visages.
Le forestier restera forestier,
Le laboureur, laboureur
Et celui qui a lancé
sa chanson au vent
La chantera aussi
aux sphères mouvantes
Je vivrai par-delà la mort,
Je chanterai à vos oreilles
Même après avoir été emporté,
Par la grande vague de la mer
Jusqu'au plus profond de l’océan.
Je m’assiérai à votre table
Bien que mon corps
paraisse absent,
Je vous accompagnerai
dans vos champs,
Esprit invisible.
Je m’installerai avec vous
devant l’âtre,
Hôte invisible aussi.
La mort ne change
que les masques
Qui recouvrent nos visages.
Le forestier restera forestier,
Le laboureur, laboureur
Et celui qui a lancé
sa chanson au vent
La chantera aussi
aux sphères mouvantes
PRI-315
UN GRAND AMOUR M’ATTEND
Ce qui se passe de l’autre côté
Quand tout pour moi
aura basculé dans l’éternité
Je ne sais pas!
Je crois, je crois seulement
Qu’un grand amour m’attend.
Je sais pourtant qu’alors,
pauvre et dépouillé,
je laisse Dieu peser
le poids de ma vie.
Mais ne pensez pas
que je désespère...
Non, je crois, je crois tellement
qu’un grand amour m’attend.
Si je meurs, ne pleurez pas,
C’est un amour
qui me prend paisiblement.
Si j’ai peur… et pourquoi pas?
Rappelez-moi souvent,
simplement, qu’un grand
amour m’attend.
Mon rédempteur
va m’ouvrir la porte,
de la joie, de sa lumière.
Oui, Père,
voici que je viens vers toi.
Comme un enfant
je viens me jeter
dans ton amour,
Ton amour qui m’attend.
Ce qui se passe de l’autre côté
Quand tout pour moi
aura basculé dans l’éternité
Je ne sais pas!
Je crois, je crois seulement
Qu’un grand amour m’attend.
Je sais pourtant qu’alors,
pauvre et dépouillé,
je laisse Dieu peser
le poids de ma vie.
Mais ne pensez pas
que je désespère...
Non, je crois, je crois tellement
qu’un grand amour m’attend.
Si je meurs, ne pleurez pas,
C’est un amour
qui me prend paisiblement.
Si j’ai peur… et pourquoi pas?
Rappelez-moi souvent,
simplement, qu’un grand
amour m’attend.
Mon rédempteur
va m’ouvrir la porte,
de la joie, de sa lumière.
Oui, Père,
voici que je viens vers toi.
Comme un enfant
je viens me jeter
dans ton amour,
Ton amour qui m’attend.
PRI-320
Terminé le voyage sur terre,
quel bienheureux passage
au monde de l’esprit,
quelle contemplation
de choses nouvelles
et de beautés célestes,
inconnues du monde terrestre,
l’âme revient dans sa patrie,
où le clair soleil
de la vérité divine illumine
ceux qui chantent.
Alléluia!
quel bienheureux passage
au monde de l’esprit,
quelle contemplation
de choses nouvelles
et de beautés célestes,
inconnues du monde terrestre,
l’âme revient dans sa patrie,
où le clair soleil
de la vérité divine illumine
ceux qui chantent.
Alléluia!
PRI-325
Notre Père,
reçoit dans ton royaume
celui qui s’est éteint,
là où il n’y a ni péché, ni mal,
là où la sainte volonté
est inébranlable,
là où dans l’assemblée
des âmes les plus pures
et des anges sans défaut
brille ton nom bienfaisant
et où règne le parfum
de ta glorification.
reçoit dans ton royaume
celui qui s’est éteint,
là où il n’y a ni péché, ni mal,
là où la sainte volonté
est inébranlable,
là où dans l’assemblée
des âmes les plus pures
et des anges sans défaut
brille ton nom bienfaisant
et où règne le parfum
de ta glorification.
PRI-330
Par l’image
des paisibles parcs
d’une beauté non terrestre,
et des demeures
aussi claires que le soleil,
et dans la perfection
des chants célestes,
tu nous as découvert
la félicité de ceux
qui t’aiment.
Seigneur,
que ton serviteur
entre dans ta joie;
revêts-le de l’illumination
de ta gloire;
qu’il entende le chant ineffable
des chérubins,
qu’il s’élève de gloire en gloire
et qu’il voit la splendeur
de ta Face.
des paisibles parcs
d’une beauté non terrestre,
et des demeures
aussi claires que le soleil,
et dans la perfection
des chants célestes,
tu nous as découvert
la félicité de ceux
qui t’aiment.
Seigneur,
que ton serviteur
entre dans ta joie;
revêts-le de l’illumination
de ta gloire;
qu’il entende le chant ineffable
des chérubins,
qu’il s’élève de gloire en gloire
et qu’il voit la splendeur
de ta Face.
PRI-335
Je vivrai par delà la mort
Je vivrai par delà la mort,
je chanterai à vos oreilles
même après avoir été emporté,
par la grande vague de la mer
jusqu'au plus profond de l'océan.
Je m'assiérai à votre table bien que
mon corps paraisse absent.
Je vous accompagnerai dans vos champs,
esprit invisible.
Je m'installerai avec vous devant l'âtre,
hôte invisible aussi.
La mort ne change que les masques
qui recouvrent nos visages.
Le forestier restera forestier,
le laboureur, laboureur,
et celui qui a lancé sa chanson au vent
la chantera aussi aux sphères mouvantes.
- Khalil Gibran
Je vivrai par delà la mort,
je chanterai à vos oreilles
même après avoir été emporté,
par la grande vague de la mer
jusqu'au plus profond de l'océan.
Je m'assiérai à votre table bien que
mon corps paraisse absent.
Je vous accompagnerai dans vos champs,
esprit invisible.
Je m'installerai avec vous devant l'âtre,
hôte invisible aussi.
La mort ne change que les masques
qui recouvrent nos visages.
Le forestier restera forestier,
le laboureur, laboureur,
et celui qui a lancé sa chanson au vent
la chantera aussi aux sphères mouvantes.
- Khalil Gibran
Themes
